jeudi 10 juillet 2014

L'élite de Kiera Cass



Editeur : Robert Laffont
Collection : R
Parution : 2013
308 pages
N°ISBN : 978-2221129296



Résumé :

La Sélection de trente-cinq candidates s'est réduite comme peau de chagrin, et désormais l’Élite restante n'est plus composée que de six prétendantes. L'enjeu pour ces jeunes filles? Convaincre le Prince Maxon, le Roi et la Reine ses parents, qu'elles sont les mieux à même de monter sur le trône d'Illéa, alors que deux factions de rebelles veulent faire tomber la monarchie.
Pour America Singer, demeurer au palais est encore plus compliqué : ses sentiments envers Maxon viennent se heurter à l'amour qu'elle éprouve depuis l'enfance pour Aspen, garde royal qu'elle croise tous les jours dans les galeries, et à son sens aigu de la justice trop souvent déçu par les décisions royales...
Entre intrigues de cour, dilemmes tragiques et loyautés divisées, America navigue à vue dans la tourmente, en quête du déclic qui changera à jamais le cours de sa vie... 


Mon avis :

J'avais énormément aimé le premier tome de cette saga, je n'avais donc pas pu attendre très longtemps avant de me procurer ce deuxième tome pour découvrir la suite des aventures d'America et des autres personnages participant à la Sélection.
Il ne reste désormais plus que six candidates pour devenir la princesse et épouse de Maxon. America en fait partie tout comme Kriss, Céleste, et d'autres encore. 

Encore une fois, la couverture de ce livre est magnifique! Mais un livre ne se résume pas à sa couverture me direz-vous.
Je dois admettre que dès le début de ce deuxième tome j'ai étais emballée par ce qu'il racontait! Si bien que j'ai lu ce livre très rapidement ayant du mal à l'abandonner pour faire autre chose.

Même si j'avais énormément aimé le premier tome, celui-ci selon moi est encore meilleur .
En effet, la Sélection se réduit, nous en apprenons donc plus sur les quelques filles restantes, nous apprenons à les apprécier, et surtout nous en savons plus sur Maxon et Aspen, beaucoup plus présent dans ce tome.
De plus, Kiera Cass amplifie la description des différents salons, des évènements mais aussi des robes des demoiselles, ce qui était moins présent dans le premier tome. J'ai apprécié encore une fois sa plume, et trouve qu'elle a un style d'écriture vraiment plaisant à lire, qui nous donne envie d'en savoir plus.

L'évocation des sentiments d'America, son hésitation entre Aspen et Maxon et donc la création d'un triangle amoureux, sont ce qui a fait que le livre m'a autant plu, bien que je ne raffole pas du tout des triangles amoureux, celui-ci ne m'a pas dérangée, bien au contraire!
Même si je dois vous avouez avoir préféré les moments America-Maxon plutôt que America-Aspen, entre les deux, le choix était vite fait pour moi : MAXON.
 Je l'ai trouvé adorable avec America et leur relation m'a énormément plu!

Nous en savons également un peu plus quant aux renégats, bien que j'aurais apprécié en savoir plus sur leurs motivations, et le pourquoi de leur action.

Enfin je terminerai cette chronique en évoquant, LE personnage que je trouve odieux, et qui m'a énervé au plus haut point lors de toutes ses apparitions, le Roi. Son comportement m'a juste soulé comme c'est pas permis, puis j'ai trouvé étrange le fait que personne, même pas son épouse, n'ait remarqué la façon dont il traite son fils. Je n'ai pas de mots pour décrire ce personnage j'avais juste envie de le virer du livre pour ne plus à lire son nom!
(Je sais pas vous mais il me fait pensé au roi dans Shrek?)

En bref, je ne peux que vous recommander encore une fois ce livre. Vous verrez, une fois cette sage commencée, il ne vous sera pas possible d'arrêter la lecture où vous mourrez d'envie de lire les tomes prochains, l'auteure s'étant donnée du mal pour que à la fin de chacun des tomes nous restons sur notre faim.

jeudi 12 juin 2014

La Sélection de Kiera Cass

Editeur : Robert Laffont
Collection : R
Parution : 2012
343 pages
N°ISBN:  978-2221129289


Résumé :

Elles sont trente-cinq jeunes filles : la "Sélection" s'annonce comme l'opportunité de leur vie. L'unique chance pour elles de troquer un destin misérable contre un monde de paillettes. L'unique occasion d'habiter dans un palais et de conquérir le cœur du prince Maxon, l'héritier du trône.
Mais pour America Singer, cette sélection relève plutôt du cauchemar. Cela signifie renoncer à son amour interdit avec Aspen, un soldat de la caste inférieure. Quitter sa famille. Entrer dans une compétition sans merci. Vivre jour et nuit sous l’œil des caméras.

Mon avis :

 Tout d'abord j'aimerais mentionner la couverture de ce tome que je trouve vraiment belle, et qui a fait que j'ai eu envie d'en savoir plus sur ce livre. 
J'ai mis longtemps, très longtemps avant de lire ce premier tome, sorti en 2012... 
Bien que ce livre eut un très grand succès à sa sortie, je n'en ai entendu parlé, et la remarqué en librairie il n'y a que quelques mois seulement. 

J'avais lu beaucoup d'avis positifs, et le résumé me tentais bien, cependant je redoutais de démarrer un nouvelle saga, sans être sûre qu'elle me plairait..
J'ai donc trouvé une alternative, j'ai acheté ce livre en e-book au cas où il ne plairait pas...

Mis à part la saga Hunger Games de Suzanne Collins, je n'avais pas encore lu de livres dystopiques, je ne suis donc pas experte de ce genre littéraire. Je découvrais alors un peu plus en quoi cela consistait lors de ma lecture. 

Nous suivons dans ce premier tome, America Singer, jeune fille de caste cinq, vivant de la musique avec sa famille et fréquentant secrètement Aspen, d'une caste inférieure à la sienne. Maxon Schreave, prince d'Illéa, à l'âge de se marier, et lance la Sélection, dans le but de rencontrer sa future femme comme l'avait fait son père il y a des années de ça.
America, après une certaine hésitation, s'inscrit à la Sélection, pour sa famille et Aspen, pensant qu'elle n'avait aucune chance, et pourtant...

J'ai trouvé que ce premier ressemblait en certains points à Hunger Games, de par le système des castes, le fait que la Sélection soit organisée sous forme d'un jeu télévisé avec tirage aux sorts des filles intégrant celle-ci, mais aussi dans le triangle amoureux présent tout au long du livre.
Cependant, La Sélection ne se résume pas à ça. La quête de Maxon pour trouver sa future femme, et ainsi la future princesse d'Illéa, bien qu'elle m'ait fait pensé à Le Bachelor, m'a énormément intéressé! J'ai beaucoup aimé découvrir le rapport de celui-ci avec les différentes filles, en étant le plus honnête possible. 

J'ai apprécié la plume de Kiera Cass, et la manière dont elle nous fait apprécier ses personnages aux personnalités si différentes : America au caractère fort, Maxon, le prince maladroit et gentil pour qui j'ai un petit faible, sans oublier Aspen, Marlee, Céleste,...

J'ai donc passé un très bon moment avec cette lecture! J'ai d'ailleurs enchaîné directement avec le tome 2, la fin me donnant envie d'en savoir plus! 

samedi 19 avril 2014

Malavita, Tonino Benacquista

Editeur : Folio
375 pages
N° ISBN : 978-2-07-031939-8

Résumé :

"Ils prirent possession de la maison au milieu de la nuit. Une autre famille y aurait vu un commencement. Le premier matin de tous les autres. Une nouvelle vie dans une nouvelle ville. Un moment rare qu'on ne vit jamais dans le noir."

Une famille d'Américains s'installe à Cholong-sur-Avre, en Normandie. Fred, le père, se prétend écrivain et prépare un livre sur le Débarquement. Maggie, la mère, est bénévole dans une association caritative et se surpasse dans la préparation des barbecues. Belle, la fille, fait honneur à son prénom. Warren enfin a su se rendre indispensable pour tout et auprès de tous.
Une famille apparemment comme les autres en somme. Une chose est sûre, s'ils emménagent dans votre quartier, fuyez sans vous retourner...



Mon avis :

Si ce livre a été publié en 2004, je n'en ai entendu parlé qu'il y a quelques mois, lors de la sortie de l'adaptation cinématographique en Novembre dernier. 
La bande annonce m'avait plu, les critiques étaient plutôt bonnes, et les acteurs et le réalisateur étaient très connu ( Réalisateur : Luc Besson, Acteurs : Robert De Niro, Michelle Pfeiffer, Dianna Agron et John D'Leo, entre autres).

Le film m'ayant énormément plu, j'ai acheté peu de temps après le livre, pour faire la comparaison. Depuis, celui-ci attendait sagement d'être lu dans ma bibliothèque, jusqu'à il y a quelques semaine. 

Connaissant l'histoire, je savais à quoi m'attendre, je ne m'attendais pas à être surprise, et ne l'a pas vraiment été, même si j'ai apprécié cette lecture! 

L'histoire commence lors de l'arrivée des Blake à Cholong-sur-Avre. Le père, Fred, est un ancien mafieu repenti qui bénéficie du programme de protection des témoins du FBI après avoir dénoncé ses "collègues" pour sauver sa peau. Nous suivons donc l'intégration de la famille dans cette bourgade après avoir fui les États-Unis, Paris et le sud de la France.

Dès le début, l'auteur nous donne envie d'en savoir plus, même en ayant vu le film avant, il utilise beaucoup de détails et précisions qui fait que j'avais envie d'aller plus vite dans ma lecture, de découvrir quels détails l'adaptation cinématographique ne présentait pas.
Le livre se lit très facilement, et comporte à la fois des touches de suspens et d'humour, l'association des deux, bien qu'elle soit surprenant et peu commune a sa place de l'histoire et ajoute un peu plus au livre.

Je garderais donc un bon souvenir de ce livre, ainsi que du film. Et je vais essayer de me procurer Malavita Encore, suite de celui-ci publié quelques années après.
 

mercredi 5 mars 2014

La femme parfaite est une connasse, Anne-Sophie Girard et Marie-Aldine Girard

Editeur : J'ai Lu
Collection : J'ai Lu Humour
160 pages
N° ISBN : 978-2290059487




 

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Résumé :

Ce livre est LE guide pour toutes les femmes imparfaites (c'est-à-dire grosso-modo pour toutes les femmes*). Vous y apprendrez notamment comment garder votre dignité quand vous être complétement bourrée, qui sont ces filles qui ne mangent qu'une salade par jour, les questions qu'il ne faut pas poser à un homme si vous ne voulez pas entendre la réponse, ou ce qu'il faut faire de toute urgence si votre mec veut s'acheter des Crocs.

* Il peut également être lu par les hommes qui n'ont pas peur de découvrir ce que les filles racontent entre elles dès qu'ils ont le dos tourné...



Mon avis :

Depuis sa sortie, il y a maintenant plus d'un an, ce livre fait beaucoup parlé de lui. Je l'ai aperçu de nombreuses fois dans les différentes librairies de ma ville, hésitant à l'acheter pour au final le reposer et me dire "la prochaine fois".
Les mois ont donc passé, sans qu'au final je repasse chercher ce fameux guide, même si beaucoup de monde m'en avait parlé depuis sa sortie. 

Puis, une fille de ma classe l'avait un jour amené pour les cours pour nous en parler, et là prêté à plusieurs personnes, dont moi. Si j'ai feuilleté rapidement ce livre en cours et l'a  dévoré en une heure entre deux cours, tellement il se lit rapidement. 

Je ne saurais quoi dire sur ce livre, à part le fait qu'il se lit très facilement, et qu'il nous fait rire! Même en n'étant pas concernée par certains sujets, (je ne suis pas mariée, je ne travaille pas, etc..) j'ai passé un bon moment avec cette lecture, et me suis identifiée dans certaines pages, ce livre expose bel et bien des situations réelles, qui peuvent nous arriver. 

Pour terminer, j'ajouterais que ce livre est parfait pour se détendre, et je vous le conseille, lisez-le entre amies, de nombreux sujets vous feront forcement pensé à une situation et vous passerez un bon moment à en discuter avec celles-ci.

dimanche 23 février 2014

Acide Sulfurique, Amélie Nothomb

Le Livre de Poche
193 pages
N° ISBN : 2-226-16722-6




Résumé :

    Concentration : la dernière-née des émissions télévisées. On enlève des gens, on recrute des kapos, on filme... Tout de suite, le plus haut score de téléspectateurs, l'audimat absolu qui se nourrit autant de la cruauté filmée que de l'horreur dénoncée.
    Étudiante à la beauté stupéfiante, Pannonique est devenue CKZ114 dans le camp de concentration télévisé. Le premier sévice étant la perde de son nom, partant de son identité. Zdena, chômeuse devenue la kapo Zdena, découvre en Pannonique son double inversé et se met à l'aimer éperdument. Le bien et le mal en couple fatal, la victime et le bourreau, la belle et la bête aussi. Quand les organisateurs du jeu, pour stimuler encore l'audience, décident de faire voter le public pour désigner les prisonniers à abattre, un tollé médiatique s'élève mais personne ne s'abstient de voter et Pannonique joue sa vie.
   Les jeux du cirque modernes : téléréalité, voyeurisme, ignominie, bonne conscience, dénonciation moralisante y ont partie liée. Un monde de bêtise et de cruauté, d'hypocrisie bien-pensant où même la dénonciation du système appartient au système. Et cependant qui dit victime dit désir de sauver sa peau. En premier chef de reconquérir la facullté de nommer, le début de l'humanité selon Nothomb...

"Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus : il leur en fallut le spectacle."



Mon avis :

Après Métaphysique des tubes j'avais hâte de découvrir d'autres livres d'Amélie Nothomb, dont l'écriture est si particulière. 
J'ai donc emprunté ce livre au CDI de mon lycée. Ce qui est bien et moins bien à la fois avec les livres de cette auteure, du moins dans l'édition livre de poche, c'est que généralement il n'y a pas vraiment de résumé sur la quatrième de couverture, sur celui que j'ai emprunté, elle comportait une citation : "Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus : il leur en fallut le spectacle." Cela nous permet donc de ne pas trop en savoir avant la lecture, mais nous donne justement envie de le lire, nous ne savons pas du tout à quoi s'attendre, c'est ainsi ce qui m'a fait emprunté ce livre sans aucune hésitation..

Je savais qu'Amélie Nothomb avait écrit un livre se basant sur l'histoire et les camps de concentration, mais je ne savais pas que c'était celui-là.
Dès les première lignes, j'ai compris quel allait être le sujet de ce roman.

Nous retrouvons dans ce roman, l'écriture et le style particulier d'Amélie Nothomb mais qui me plait encore une fois. 
Elle choisit pour son histoire de se baser sur deux différents axes, deux réalités actuelles et historiques qu'elle choisit d'entremêler : tout d'abord le traitements des personnes déportées dans les camps de concentration au cours de la Seconde Guerre Mondiale ainsi que l'importance de la télé-réalité dans la société actuelle. 

Son histoire se concentre donc sur la mise en place d'une télé-réalité reprenant les principes des camps de concentration. 
Tous ce que les juifs et autres minorités ont subi pendant leur déportation, que nous avons tous plus ou moins étudié en histoire, l'auteure choisit de le faire subir à ses personnages, la déshumanisation passant par la perte de leur prénom, le travail forcé, les mises à mort, le fait qu'ils perdent espoir, tout y est! Ce qui rends son livre vraiment réaliste et troublant.
 Car ayant été bouleversée par ce qu'il s'est passé lors des camps de concentration, ce roman ne pouvait aussi que m'intéresser, me plaire et me toucher. Puisque si nous sommes tous au courant de ce qu'il s'est passé, seul quelques témoignages expriment "les coulisses" de ce qu'il s'est passé, ce livre est concentré sur quelques détenus nous savons donc ce qu'ils ressentent.

Les personnages sont intéressant, surtout Pannonique et les autres détenus avec lesquels elle se lie d'amitié. D'autres ne m'ont pas plus du tout, surtout par le rôle qu'ils ont choisi d'exercer, comme Zdena par exemple. Cependant, cette dernière va "remonter dans mon estime" par ses actes. 

Vous l'aurez compris, j'ai énormément apprécié cette lecture qui m'a marquée. 
D'ailleurs le titre, renvoie à un moment du livre, ce que je trouve intéressant une fois la lecture terminée, puisqu'il renvoie au moment clé de l'histoire, je ne vous en dit pas plus de peur de spoiler l'histoire. 
J'ai donc hâte de découvrir d'autres livres de cette auteure, qui promettent d'autres lectures tout aussi passionnantes que celle-ci, je l'espère de tout coeur! 

samedi 30 novembre 2013

Rome en un jour de Maria Pourchet

Edition : Gallimard
180 pages



Résumé : 

" Paul était devant le poste, à mille lieues d'envisager qu'on pût lui réserver un anniversaire surprise fin juin, à lui, natif de février..."
Sur le toit-terrasse d'un hôtel parisien, en attendant qu'on leur serve quelque chose à boire et que Paul apparaisse au bras de Marguerite, les invités prennent possession des lieux. Peu à peu, la soirée dérive loin du projet initial.
A l'autre bout de la ville, Marguerite tente en vain de convaincre Paul de sortit sans dévoiler la surprise. C'est le début d'une guerre dont les proportions vont bientôt leur échapper à tous deux.
Marie Pourchet explore le fonctionnement d'un couple contemporain, les origines de son désastre mais aussi l'étendue des solitudes, chacun tentant d'échapper à l'autre, à la vérité, à lui même. On rit à chaque page... non sans un certain effroi.



Mon avis :

Je remercie tout d'abord les éditions Gallimard et l'opération "Les Matchs Littéraires" de cette rentrée 2013 pour l'envoie de ce livre et qui me permet de découvrir une nouvelle auteure!
Je ne connaissais pas du tout Maria Pourchet pour son écriture, mais j'avais entendu parlé de ce livre, ainsi mon choix n'a pas était difficile, j'ai su tout de suite que je souhaiterais lire ce livre.

L'histoire est à la fois originale et simple, il va s'agir de la fête d'anniversaire de Paul, qui est une surprise pour lui.
Le livre est découpé de sorte qu'un chapitre nous parle de la manière dont Marguerite et Paul se prépare pour cette fête ainsi que de comment elle va s'y prendre pour le convaincre de sortir, et de l'autre côté ce que font les invités, déjà présents, et attendant le couple.

Si je n'ai pas vraiment apprécié les parties illustrant le comportement des invités, j'ai cependant un peu plus aimé suivre l'histoire de ce couple. 
Mais je n'ai cependant pas été emballée par ce livre, j'ai aimé mais sans plus.

Le résumé de la quatrième de couverture nous indique que l'on "rit à chaque page", or je n'ai pas ris à aucun moment du livre. De plus, j'ai trouvé cette lecture vraiment longue et me suis ennuyée par moment, dommage....

Je remarque tout de même que l'écriture de l'auteure est très belle et précise, j'espère avoir l'occasion de lire un autre de ces romans!

Il m'est demandé d'attribuer une note à cette lecture, je mettrais 12/20, pour les éléments cités précédemment!

mardi 27 août 2013

Si c'était à refaire de Marc Levy

Edition Pocket
406 pages



Résumé : 

Andrew Stilman, grand reporter au New York Times mène l'enquête la plus importante de sa carrière. Au lendemain de son mariage, il est victime d'une agression et s'effondre, mortellement belssé, dans une marre de sang. Étrangement, il reprend connaissance deux mois plus tôt.
Revenu soixante jours en arrière, Andrew Stilman doit choisir entre mener à terme son enquête ou découvrir son assassin et déjouer le destin. De New York à Buenos Aires, le reporter se trouver précipité dans un engrenage vertigineux.
S'engage alors une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu'à son dénouement... à couper le souffle. 



Mon avis :

Marc Levy est un auteur que j'apprécie, il est souvent comparé à Guillaume Musso par son écriture est ses livres. J'ai apprécié certains de ses livres, d'autres un peu moins, et je ne trouve personnellement pas que son écriture ressemble énormément à celle de Musso, je préfère ce dernier.
J'avais lu beaucoup d'avis négatifs sur le livre, mais l'avais acheté car le résumé me tentais bien, beaucoup plus même que d'autres de ses romans. J'ai emmené ce livre pour mes vacances n'ayant pas envie de prendre des livres trop prises de tête, je voulais me détendre.

 Ce livre est à la fois parfait pour se détendre et plein de suspens. Andrew, journaliste réputé, doit mener deux enquêtes à la fois, celle pour son article et en même temps découvrir qui à l'attention de le tuer deux mois plus tard.

J'ai trouvé l'histoire intéressante, j'ai apprécié suivre Andrew dans ses enquêtes et avait hâte de savoir qui avait l'intention de le tuer et surtout s'il arriverait à l'empêcher. 
Les personnages principaux et secondaires m'ont également plu, j'ai particulièrement apprécié Andrew, Simon, Valérie et Marisa. J'aurais même aimé que Marisa soit plus présente dans l'histoire. 

J'ai terminé ce livre en quelques jours, plus rapidement que je ne l'aurais cru, je l'emmenais partout avec moi, pour avancer dans ma lecture dés que j'avais quelques minutes.
J'ai adoré la fin aussi, bien que j'aurais aimé en savoir plus! Il ne me reste plus qu'à me procurer le dernier livre de cet auteur, qui constitue la suite de celui-ci.